Nu l'été sous les fleurs
précédé de Traquée comme jardin
Mais je ne me souviendrai de rien, ni des toits laqués ni de ta peau écrue, et vivre n’était alors qu’un défaut de l’œil gauche j’ai dit. Le jardin gonflait dehors l’étendue des phrases vaines, sous les lauriers les murs de bauge des voix simplement.
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Allumés parfois pareils à d’anciennes villes nous allions, la nuit, entre le mobilier de bois verni la faune des objets en passant et parfois l’herbe des plaines ou la bruine nous touchaient nos corps habillés de peu cherchant la touffeur brune d’une ultime frondaison, d’une île.
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Pages : 96
Format : 14,5 x 20,5 cm
Publié avec le concours du Centre national du livre